Le point de détail chapitre 3

La discussion sur la vidéo, ne se portait pas sur l'atrocité du génocide juif mais sur la façon dont les gens en général Juifs et pas Juifs ont été tués pendant la seconde guerre. Dans le contexte de la question, génocide = génocide et la chambre à gaz = moyen du génocide. Mais les journalistes ont confondu le génocide juif avec son moyen, dans leur esprit génocide juif = chambre à gaz.
La différence est très subtile mais le mot table n'est pas la table.

Lorsque Jean-Marie Le Pen a dit ne pas avoir vu lui-même les chambres à gaz, les journalistes pour qui chambre à gaz = génocide, comprennent qu'il ne voulait pas reconnaître que des Juifs ont été tués. Et on a commencé à lui prendre la tête sur la chambre à gaz = génocide alors que pour lui chambre à gaz = arme. Et l'expression Un point de détail veut dire que la chambre à gaz est une arme parmi les autres armes, ce qui est vrai dans le contexte de la question qui était beaucoup plus large que le génocide juif.
Et les journalistes ont continué dans leur amalgame en avançant des chiffres toujours avec chambre à gaz = génocide juif et Point de détail = pas grave. "Comment ? 6 millions de morts, pour vous, ce n'est pas grave ? 6 millions de morts, c'est un point de détail ?" 

C'est pour ça que Jean-Marie Le Pen semblait surpris et décontenancé. Et on l'a accusé et condamné pour banalisation des chambres à gaz avec chambre à gaz = le génocide juif. Et banaliser = minimiser la gravité, trouver anodin, trouver normal (qu'on peut refaire).

Et Jean-Marie Le Pen parlait en tant qu'historien d'esprit. Et il a raison : vu toutes les conneries que l'histoire officielle raconte sur la colonisation et au musée de l'immigration sur le racisme des Gaulois, et vu que les Gaulois ont bizarrement disparu, il y a des choses qu'on doit vérifier par nous-même, surtout quand c'est grave.

Et étant donné que l'objectif de Hitler était la conquête du monde et que la Shoah était un moyen de faire adhérer le peuple en lui désignant un ennemi commun, la phrase de Jean-Marie Le Pen: "La chambre à gaz est un point de détail de la seconde guerre" prend tout son sens dans le contexte de la discussion.

On a depuis diabolisé le mot détail parce qu'il a ensuite réutilisé le mot détail dans d'autres contextes pour se moquer des juges et des journalistes qui l'ont stupidement condamné pour
antisémitisme (dans le sens être anti-juifs) à cause d'un point de détail.

Nous vivons les conséquences de la Shoah. Des gens vont encore dire que c'est la faute de Mr le Comte, la faute du nationalisme alors qu'en vérité, c'est la faute de l'amalgame. Il faut arrêter de faire des amalgames. L'amour de la France n'a rien à voir avec la haine des Juifs et des étrangers.